The Fort Worth Press - JO-2022: Papadakis et Cizeron pour l'or manquant, Hanyu pour un triplé historique

USD -
AED 3.673042
AFN 68.800364
ALL 89.943091
AMD 388.618256
ANG 1.809697
AOA 923.000367
ARS 975.742773
AUD 1.471454
AWG 1.8
AZN 1.70397
BAM 1.780833
BBD 2.027407
BDT 119.990895
BGN 1.783078
BHD 0.37669
BIF 2913.180059
BMD 1
BND 1.303346
BOB 6.938311
BRL 5.457188
BSD 1.004143
BTN 84.256772
BWP 13.28204
BYN 3.286046
BYR 19600
BZD 2.023947
CAD 1.35795
CDF 2871.000362
CHF 0.857524
CLF 0.033526
CLP 925.08081
CNY 7.01845
CNH 7.099204
COP 4206.965627
CRC 520.828591
CUC 1
CUP 26.5
CVE 100.400637
CZK 23.103704
DJF 178.802641
DKK 6.793504
DOP 60.386979
DZD 133.337583
EGP 48.305941
ERN 15
ETB 120.122194
EUR 0.910604
FJD 2.21245
FKP 0.761559
GBP 0.762108
GEL 2.740391
GGP 0.761559
GHS 15.885272
GIP 0.761559
GMD 69.000355
GNF 8669.246529
GTQ 7.769634
GYD 210.070567
HKD 7.76645
HNL 24.967903
HRK 6.799011
HTG 132.392443
HUF 365.803831
IDR 15670
ILS 3.815945
IMP 0.761559
INR 84.03035
IQD 1315.365354
IRR 42105.000352
ISK 135.660386
JEP 0.761559
JMD 158.661507
JOD 0.708504
JPY 148.72504
KES 129.533349
KGS 84.703799
KHR 4075.574778
KMF 448.950384
KPW 899.999433
KRW 1346.870383
KWD 0.30633
KYD 0.836786
KZT 484.935124
LAK 22172.547234
LBP 89917.960392
LKR 294.905532
LRD 193.790121
LSL 17.542363
LTL 2.95274
LVL 0.60489
LYD 4.788527
MAD 9.821534
MDL 17.617118
MGA 4599.134987
MKD 56.107444
MMK 3247.960992
MNT 3397.999955
MOP 8.029684
MRU 39.752333
MUR 46.490378
MVR 15.350378
MWK 1741.133622
MXN 19.287039
MYR 4.221504
MZN 63.903729
NAD 17.542363
NGN 1637.680377
NIO 36.949693
NOK 10.656204
NPR 134.810835
NZD 1.623245
OMR 0.38503
PAB 1.004143
PEN 3.740496
PGK 3.999089
PHP 56.642504
PKR 278.6402
PLN 3.93179
PYG 7826.997496
QAR 3.661097
RON 4.537504
RSD 106.550421
RUB 95.606647
RWF 1360.437059
SAR 3.756281
SBD 8.278713
SCR 15.010372
SDG 601.503676
SEK 10.370404
SGD 1.303604
SHP 0.761559
SLE 22.847303
SLL 20969.494858
SOS 573.82199
SRD 31.20366
STD 20697.981008
SVC 8.785796
SYP 2512.529936
SZL 17.53517
THB 33.278038
TJS 10.69374
TMT 3.51
TND 3.071614
TOP 2.342104
TRY 34.125504
TTD 6.809925
TWD 32.286038
TZS 2736.171181
UAH 41.33913
UGX 3682.221716
UYU 41.994081
UZS 12793.0799
VEF 3622552.534434
VES 36.989445
VND 24770
VUV 118.722009
WST 2.797463
XAF 597.274755
XAG 0.031071
XAU 0.000377
XCD 2.70255
XDR 0.746733
XOF 597.274755
XPF 108.59094
YER 250.303591
ZAR 17.482504
ZMK 9001.203587
ZMW 26.432962
ZWL 321.999592
  • AEX

    1.4600

    911.81

    +0.16%

  • BEL20

    5.5700

    4290.9

    +0.13%

  • PX1

    63.5600

    7541.36

    +0.85%

  • ISEQ

    99.8300

    9607.72

    +1.05%

  • OSEBX

    13.3600

    1449.45

    +0.93%

  • PSI20

    1.9900

    6647.27

    +0.03%

  • ENTEC

    -5.8300

    1416.23

    -0.41%

  • BIOTK

    -78.5100

    2564.85

    -2.97%

  • N150

    48.2100

    3350.4

    +1.46%

JO-2022: Papadakis et Cizeron pour l'or manquant, Hanyu pour un triplé historique
JO-2022: Papadakis et Cizeron pour l'or manquant, Hanyu pour un triplé historique

JO-2022: Papadakis et Cizeron pour l'or manquant, Hanyu pour un triplé historique

Quatre ans après l'argent olympique et malgré une olympiade chamboulée, Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron s'avancent en favoris pour l'or en danse sur glace aux Jeux de Pékin (4-20 février) et ont concentré leurs efforts sur cette quête ultime.

Taille du texte:

Double champion olympique en titre, le Japonais Yuzuru Hanyu rêve lui de devenir le premier patineur à s'offrir trois sacres olympiques consécutifs depuis près d'un siècle. Mais gare à sa cheville droite récalcitrante, et, au-delà, au triple champion du monde en titre, l'Américain Nathan Chen.

. Papadakis et Cizeron ont "toutes les armes"

A 26 ans pour elle et 27 ans pour lui, l'or olympique, le seul qui échappe encore aux quadruples champions du monde (2015, 2016, 2018 et 2019) et quintuples champions d'Europe (2015-2019), est l'objectif N.1 des danseurs français.

Papadakis et Cizeron n'en font pas mystère: "Automatiquement, après la médaille d'argent à Pyeongchang, où on a raté de très peu la médaille d'or, on est vraiment déterminés à l'obtenir, affirme-t-il à l'AFP. C'est vraiment ça qui nous anime cette année et depuis quatre ans."

"On a gagné en maturité, on a gagné en technicité, artistiquement on est encore meilleurs: on a vraiment toutes les armes pour", estime Cizeron.

Pourtant, entre première défaite depuis près de deux ans début 2020 aux Championnats d'Europe --venue des patins des Russes Victoria Sinitsina et Nikita Katsalapov, leurs principaux rivaux à Pékin--, surmenage pour elle et pandémie de Covid-19, l'olympiade n'a rien eu d'habituel. Papadakis et Cizeron sont même restés vingt mois sans patiner en compétition entre janvier 2020 et octobre 2021.

Ils en ont profité pour s'atteler plus tôt que jamais à la confection de leurs programmes olympiques. Et, depuis leur retour, ont réaffirmé leur statut de sortie en sortie.

"C'est sans aucun doute les deux programmes les plus aboutis et les plus complexes qu'on ait faits", résume Papadakis.

"Il y a eu plus de réflexion, de temps de travail. On a pris le temps de prendre le temps, explique à l'AFP leur entraîneur Romain Haguenauer. Je pense qu'on est arrivés à quelque chose d'optimal pour ces JO."

La glace française n'a plus connu l'or olympique depuis vingt ans (Anissina et Peizerat déjà en danse sur glace en 2002).

. Hanyu-Chen, duel de haut vol

"Les Jeux olympiques ne sont pas une exhibition. C'est l'endroit où il faut gagner", a rappelé Hanyu il y a un mois.

Comme il y a quatre ans, le gracile Japonais s'attaque à un défi historique: après le premier doublé olympique depuis plus de six décennies, le premier triplé depuis 94 ans exactement (Gillis Graström en 1920, 1924 et 1928).

Mais comme il y a quatre ans, l'état de sa cheville pose question. Blessée en novembre à l'entraînement, elle l'a empêché de patiner en compétition cet hiver, à l'exception des Championnats du Japon fin décembre.

Réussira-t-il à s'en relever juste à temps une seconde fois? Réponse les 8 et 10 février.

L'autre os, pour Hanyu, s'appelle Chen. A 22 ans, l'Américain, à l'origine de l'accélération de la course aux quadruples sauts depuis six ans et sacré champion du monde en 2018, 2019 et 2021, est le roi de l'olympiade qui s'achève: il est resté invaincu pendant trois ans et demi entre le printemps 2018 et octobre dernier et il ne s'est plus incliné face au Japonais depuis les JO-2018 (5e).

"Extrêmement déterminé", Hanyu fourbit une arme potentiellement fatale pour lui tenir tête: le quadruple Axel, le plus complexe des "quads" puisqu'il s'agit en fait de faire quatre tours et demi en l'air, jusque-là jamais réussi par personne en compétition.

. Valieva, la toupie russe

A 15 ans et pour son premier hiver en seniors, Kamila Valieva, sacrée championne d'Europe mi-janvier, est invaincue et s'est emparée des trois records du monde de notes (programme court, programme libre, score total).

Comment? A coup de "quads" en série, qui ont déboulé dans le patinage féminin au fil de l'olympiade.

"Elle est incroyable. Personne ne peut nier que ses capacités athlétiques sont juste extraordinaires", admire le patineur américain Jason Brown.

Avec ses deux autres "quad girls" Anna Shcherbakova et Alexandra Trusova, 17 ans et produits comme Valieva de l'usine à championnes moscovite de la sévère Eteri Tutberidze, la Russie peut même rêver de triplé.

. Les Chinois face au défi russe

Doubles médaillés d'or mondial (2017 et 2019) et vice-champions du monde et olympiques sortants, les Chinois Wenjing Sui et Cong Han ont les moyens d'apporter au pays hôte la plus précieuse des médailles. Mais gare au trio de couples russes en lice, mené par Anastasia Mishina et Aleksandr Galliamov, champions du monde et d'Europe en titre.

A.Williams--TFWP