The Fort Worth Press - Covid: Omicron, l'optimisme après la crainte

USD -
AED 3.673005
AFN 78.591526
ALL 94.812173
AMD 400.241583
ANG 1.800856
AOA 913.50109
ARS 1050.260307
AUD 1.60395
AWG 1.8
AZN 1.7005
BAM 1.874952
BBD 2.01762
BDT 121.405016
BGN 1.875177
BHD 0.376948
BIF 2957.296175
BMD 1
BND 1.351337
BOB 6.904287
BRL 5.857603
BSD 0.999219
BTN 86.451093
BWP 13.907383
BYN 3.270125
BYR 19600
BZD 2.007171
CAD 1.44025
CDF 2848.500185
CHF 0.90379
CLF 0.035873
CLP 989.852509
CNY 7.251198
CNH 7.26755
COP 4205.79
CRC 506.559679
CUC 1
CUP 26.5
CVE 105.706918
CZK 24.039896
DJF 177.939048
DKK 7.152023
DOP 61.556013
DZD 135.106988
EGP 50.223326
ERN 15
ETB 127.815054
EUR 0.95848
FJD 2.31755
FKP 0.823587
GBP 0.803707
GEL 2.87497
GGP 0.823587
GHS 15.228353
GIP 0.823587
GMD 72.000396
GNF 8638.548962
GTQ 7.723944
GYD 209.055526
HKD 7.79008
HNL 25.449735
HRK 7.379548
HTG 130.570455
HUF 390.619896
IDR 16241.9
ILS 3.617325
IMP 0.823587
INR 86.59015
IQD 1308.920098
IRR 42099.99996
ISK 139.849825
JEP 0.823587
JMD 157.393959
JOD 0.709398
JPY 155.570497
KES 129.000314
KGS 87.449597
KHR 4017.773687
KMF 472.374985
KPW 900.000111
KRW 1444.634968
KWD 0.308295
KYD 0.83267
KZT 516.311798
LAK 21747.46671
LBP 89482.604903
LKR 296.728054
LRD 198.349167
LSL 18.677992
LTL 2.95274
LVL 0.60489
LYD 4.904564
MAD 10.007286
MDL 18.576181
MGA 4707.05531
MKD 58.967011
MMK 3247.960992
MNT 3398.000107
MOP 8.020323
MRU 39.778931
MUR 46.37979
MVR 15.409996
MWK 1732.694861
MXN 20.54743
MYR 4.392498
MZN 63.909663
NAD 18.677992
NGN 1521.349974
NIO 36.774469
NOK 11.28213
NPR 138.321278
NZD 1.767784
OMR 0.384985
PAB 0.999214
PEN 3.738244
PGK 4.068583
PHP 58.448499
PKR 278.638789
PLN 4.026972
PYG 7900.413187
QAR 3.643588
RON 4.767978
RSD 112.233996
RUB 98.002425
RWF 1403.967923
SAR 3.750719
SBD 8.43942
SCR 14.266957
SDG 601.000442
SEK 10.99246
SGD 1.35033
SHP 0.823587
SLE 21.560775
SLL 20969.49992
SOS 571.077973
SRD 35.105009
STD 20697.981008
SVC 8.74275
SYP 13001.999985
SZL 18.683463
THB 33.749717
TJS 10.906389
TMT 3.51
TND 3.17835
TOP 2.342102
TRY 35.753265
TTD 6.782602
TWD 32.842898
TZS 2520.623325
UAH 42.027485
UGX 3687.974538
UYU 43.226091
UZS 12953.44735
VES 57.22543
VND 25080
VUV 118.722008
WST 2.800827
XAF 628.844375
XAG 0.032876
XAU 0.000362
XCD 2.70255
XDR 0.763866
XOF 628.847389
XPF 114.330087
YER 249.12505
ZAR 18.69355
ZMK 9001.190528
ZMW 27.854205
ZWL 321.999592
  • AEX

    3.5800

    898.41

    +0.4%

  • BEL20

    22.2500

    4300.96

    +0.52%

  • PX1

    -9.4900

    7897.37

    -0.12%

  • ISEQ

    81.4000

    10256.25

    +0.8%

  • OSEBX

    6.4100

    1498.11

    +0.43%

  • PSI20

    23.9300

    6490.33

    +0.37%

  • ENTEC

    -5.8300

    1416.23

    -0.41%

  • BIOTK

    -17.5400

    3114.28

    -0.56%

  • N150

    14.1600

    3384.97

    +0.42%

Covid: Omicron, l'optimisme après la crainte
Covid: Omicron, l'optimisme après la crainte

Covid: Omicron, l'optimisme après la crainte

La France en a-t-elle bientôt fini avec la cinquième vague de l'épidémie de Covid? C'est ce qu'espèrent le gouvernement et les scientifiques, que la légère amélioration des chiffres rend prudemment optimistes.

Taille du texte:

"On a des raisons d'être optimistes", a jugé mardi sur CNews le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, en s'appuyant sur "les déclarations d'un certain nombre de scientifiques" ces derniers jours.

Ces espoirs se fondent d'abord sur un tassement du nombre de cas quotidiens, qui laisse entrevoir le pic de cette vague due au variant Omicron.

Le nombre de contaminations est toujours très élevé (plus de 295.000 cas quotidiens en moyenne sur les sept derniers jours) mais monte moins vite: il a augmenté de 10% pendant la semaine écoulée, contre 60% pendant la précédente.

"On voit que la vague Delta a vraiment régressé, que la circulation tend à ralentir, et que dans les régions où la vague Omicron a démarré en premier, notamment en Ile-de-France, il y a ce qui semble être le début d'une décrue", a commenté M. Attal.

- Moins de réas -

"Le scénario du pire s'éloigne, la décrue a commencé, le pic des infections a été passé ces jours-ci (...) en Île-de-France" et "ce sera un petit peu plus tard pour les autres régions françaises", a relevé, lundi sur France Inter, l'épidémiologiste Arnaud Fontanet, membre du Conseil scientifique qui guide le gouvernement.

Selon les projections, "le nombre d'infections va décroître considérablement pendant le mois de février, et au mois de mars on devrait être à un niveau très bas".

Cela tient "en partie au comportement des Français", qui ont fait "un effort collectif" en janvier pour limiter leurs contacts, selon le Pr Fontanet. Le gouvernement, lui, veut continuer à pousser les gens à se faire vacciner, avec l'instauration prochaine du pass vaccinal.

Autre motif d'optimisme: la situation à l'hôpital, en particulier dans les services de soins critiques, qui accueillent les malades les plus gravement atteints.

"On voit que dans nos services de réanimation, la situation s'est stabilisée, la tension n'augmente plus", même s'"il faut évidemment rester vigilants", a poursuivi M. Attal.

Ces derniers jours, le nombre de malades du Covid en soins critiques est stable, autour de 3.900. C'est moins que lors des pics de la première, deuxième puis troisième vagues (7.000, 5.000 et 6.000).

C'est vraisemblablement lié aux caractéristiques d'Omicron, jugent les spécialistes.

Ce variant est plus transmissible que Delta, mais semble occasionner moins de formes graves de la maladie (sans qu'on sache à quel point c'est dû à ses caractéristiques ou au fait que la population est déjà en partie immunisée par la vaccination ou de précédentes infections).

Conséquence: Omicron sature moins les réanimations, puisqu'il provoque des formes moins graves, tout en pesant lourdement sur les lits d'hôpitaux en général (quelque 25.000 malades du Covid sont actuellement hospitalisés au total).

- Montagnes russes -

"C'est ce qui s'est passé au Royaume-Uni, c'est ce qu'on voit probablement (actuellement): c'est Delta qui faisait rentrer en réa, pas Omicron", a analysé l'infectiologue Eric Caumes mardi sur RMC.

Pour autant, vu le niveau de contagiosité d'Omicron, "on peut s'attendre à ce que les hôpitaux restent très sollicités tout le courant du mois de février", a prévenu le Pr Fontanet.

"On est encore sur une mer très houleuse" à l'hôpital, a également relativisé dans Libération le directeur général de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP), Martin Hirsch. D'autant plus qu'"il y a de l'épuisement" chez les soignants.

Surtout, même si l'amélioration actuelle se confirme, "on n'a pas de preuve pour dire que cette vague de Covid sera la dernière", a insisté dimanche dans le JDD l'épidémiologiste Vittoria Colizza.

Car l'arrivée d'un nouveau variant pourrait donner le départ d'un nouveau tour de montagnes russes. Même si les spécialistes espèrent que l'immunité acquise par la vaccination et les infections passées limiterait l'impact d'une éventuelle nouvelle vague.

S.Rocha--TFWP